Son boîtier « écritoire » caractéristique en est à la fois l’inspiration et le support. Imaginé par M. Raffy, propriétaire de BOVET 1822, le boîtier « écritoire » présente une lunette inclinée à 6h. Cette ingénieuse idée a permis de diversifier les types d’affichage, en utilisant dômes, rouleaux, disques ou aiguilles tridimensionnelles pour davantage d’intuitivité, d’ergonomie et d’élégance. Par cette mise en scène tridimensionnelle, les informations sont hiérarchisées pour une lisibilité accrue et l’œil du collectionneur plonge au cœur du mouvement et y découvre l’excellence de chaque détail.

Collectionneurs et experts s’accordent à saluer la révolution stylistique portée par le boîtier « écritoire » comme en témoignent les nombreuses distinctions obtenues par les garde-temps de cette trilogie et la récente Aiguille d’Or du Grand Prix d’Horlogerie de Genève décernée au tourbillon Grand Récital. M. Raffy répond donc logiquement aux attentes des collectionneurs en présentant simultanément quatre complications développées spécifiquement pour habiter le volume du boîtier « écritoire ». Parmi elles, le Quantième Perpétuel Rétrograde Récital 21.

Si l’on fait abstraction du quantième perpétuel intégré au superlatif tourbillon Grand Récital, jamais cette fonction n’avait encore été présentée dans la collection DIMIER. Le Récital 21 trouve ainsi une place d’honneur dans la collection.
 

Le souci d’afficher des informations utiles et lisibles et de pouvoir les régler intuitivement lors d’un usage quotidien préside au développement de chaque garde-temps et le Récital 21 n’y fait pas exception. Les aiguilles d’heures et de minutes occupent le centre du garde-temps laissant davantage de place en périphérie pour les informations du quantième perpétuel. A l’exception du quantième, indiqué par un index rétrograde rayonnant autour des heures et des minutes, ce sont des disques qui affichent les jours et les mois dans des guichets verticaux, respectivement à 12h et 6h ainsi que le cycle bissextile dans un guichet circulaire positionné à 3h. L’aiguille des secondes, excentrée à 9h équilibre harmonieusement l’ensemble en venant compléter les indications visibles au porté. Pour une fiabilité et une longévité accrues, les horlogers de BOVET 1822 ont développés un mécanisme qui freine l’indicateur lors de son saut rétrograde. Un détail qui s’apprécie visuellement chaque premier de mois.

En retournant le garde-temps, le collectionneur trouvera, côté mouvement, un rappel de l’aiguille de secondes, dont la disposition coaxiale fait l’objet d’un brevet, ainsi que l’indicateur de réserve de marche affichant, à pleine charge, une autonomie de cinq jours ! Un barillet unique est à l’origine de cette performance garantissant une constance de la chronométrie optimisée par le balancier-spiral entièrement développé et manufacturé dans les ateliers de BOVET 1822.

Cette autonomie exemplaire associée au quantième perpétuel offre au collectionneur un confort inégalable et la fréquence des réglages des différentes indications en sera ainsi drastiquement réduite. Mais pour agrémenter encore le confort du collectionneur, M. Raffy et les techniciens de la Maison ont imaginé un ingénieux système. Jour, date et mois possèdent un correcteur dédié permettant un réglage individuel des fonctions comme cela est traditionnellement le cas. Mais ici, le correcteur des jours agit simultanément sur la date et, de facto l’ensemble des fonctions du quantième perpétuel. Si le collectionneur souhaite régler son garde-temps alors que celui-ci s’est arrêté depuis plusieurs jours, il n’aura qu’à actionner cet unique correcteur jusqu’à ce que la date correcte s’affiche. Le réglage de l’ensemble des fonctions sera ainsi complètement synchronisé.
 

A l’instar du mouvement décoré à la main selon les critères les plus stricts, le cadran illustre l’étendue de la virtuosité des cadraniers de BOVET 1822. Pour le cadran central et le tour des secondes, ils ont choisi l’emblématique satiné circulaire bleu, qui connait un immense succès depuis son apparition dans les collections en 2015. Après avoir été finement satiné, le cadran est mis en couleur puis les artisans appliquent huit couches de laque qui sont ensuite polies pour donner au cadran son éclat et sa profondeur caractéristique. Afin d’exploiter subtilement la volumétrie unique du boîtier « écritoire », cadraniers et horlogers ont uni leurs efforts pour faire passer l’aiguille des secondes sous le cadran d’heures et de minutes pour une mise en scène savamment chorégraphiée de la plus noble expression du temps.

La surface périphérique à l’indicateur de quantième est rhodiée et le collectionneur peut choisir entre une décoration en côtes de Genève circulaires ou le motif « Fleurisanne » réalisé à la main par les graveurs d’art de la Maison.

Disponible en titane ou en or rouge, le Quantième Perpétuel Rétrograde Récital 21 émerveillera les collectionneurs les plus exigeants par la simplicité d’usage de la plus complexe des technicités exprimée dans le plus strict respect de la haute horlogerie artisanale telle que les horlogers de la Maison BOVET la pratique depuis 1822.